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Les crackers Résurrection, à base de drêches de brasserie

Des biscuits apéro qui valorisent des résidus de brasserie.

Bordeaux 9 Mai 2019
Quai de Queyries
Photo de Une 
sur le reyclage de l'orge et du malt de la brasserie transformés en crackers avec Marie Kerouedan et ses crackers Resurrection à base de drêches de brasserie issues de la fabrication de la biere

Paru le 7 juillet 2020, modifié le 8 juillet 2020

Ecrit par Elsa de Mon Quotidien Autrement

Testé et approuvé par MQA

Chez Mon Quotidien Autrement, on a un faible pour tout ce qui est valorisation des déchets. Alors, quand on est tombé sur les crackers Résurrection, on n’a pas hésité à en acheter et les goûter. L’idée de Résurrection : récupérer les drêches (bios) issus de la fabrication de bières pour les transformer en biscuits apéritifs.

C’est quoi les drêches ?

C’est à l’occasion d’un stage dans une brasserie artisanale que Marie Kerouedan découvre les drêches de brasserie : des résidus d’orge malté, évacués à la fin de la phase de brassage. Elles terminent habituellement sur un tas de compost, bien qu’elles offrent encore de belles qualités nutritionnelles car elles sont riches en minéraux (calcium, phosphore, magnésium et silicium) et en fibres. 30% à 35% de malt entrent dans la composition des recettes à base de drêches de brasserie.

En 2018, Marie Kerouedan et Nathalie Golliet ont décidé de faire de la valorisation culinaire leur métier, et fabriquent des crackers non seulement à partir de drêches (Bio !) mais aussi à partir de marc de pomme dans un atelier en Dordogne.

Pour la petite histoire, le premier client de Résurrection est … une abbaye, l’abbaye Saint-Wandrille, la seule en France à fabriquer sa propre bière. Les moines de Saint-Wandrille, non dénués d’humour, ont référencé sans aucune hésitation les petits crackers Résurrection dans la boutique de l’abbaye.

Et alors, c’est bon ?

En bouche, ils sont secs et peu salés, avec une petite note d’acidité, et on apprécie ! Généralement, les gâteaux apéros sont souvent trop gras et trop salés – c’est d’ailleurs ce qui nous pousse à replonger ! C’est donc la version saine des crackers industriels. On a goûté ceux au petit épeautre fenouil poivre, ceux au sarrasin et graines de courges, et ceux aux figues et noix. Avec une tartinade, c’est l’idéal, car les crackers mettent bien en valeur les saveurs.

Petit bémol : on apprécierait une différenciation entre les variétés plus importante mais les recettes ont été retravaillées et une nouvelle gamme va sortir en septembre.

On les trouve où ?

Les crackers sont distribués dans plus de 300 points de vente (Biocoop, Naturalia, So.Bio, Grande Épicerie de Paris, Printemps du Goût, épiceries fines, fromagers, épiceries vrac…)

Avis sur : Les crackers Résurrection, à base de drêches de brasserie

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