X Fermer

Agir ensemble au quotidien
pour construire une société - plus saine, plus écologique, plus éthique -

Carnet perso

En créant votre compte, vous pourrez avoir accès à un carnet personnel où vous pourrez archiver les recettes, articles, belles adresses,... que vous souhaitez conserver.

S'inscrire à notre newsletter

Nous ne communiquerons pas votre adresse mail. Votre adresse mail est uniquement utilisée pour que vous receviez notre newsletter. Un lien de désabonnement est présent dans toutes nos newsletters.

Agir ensemble au quotidien
pour construire une société - plus saine, plus écologique, plus éthique -

Facebook

Twitter

Comprendre en 1 minute

Logo MQA

Quelques conseils pour manger du poisson sans trop culpabiliser

Ne faites pas des yeux de merlan frit

Quelques conseils pour manger du poisson sans trop culpabiliser

Paru le 1 avril 2011, modifié le 18 mars 2023

Ecrit par Mon Quotidien Autrement

Un chiffre, un seul : une espèce de poisson sur trois est menacée par la surpêche. Allez, un deuxième : en mer du Nord, le nombre de cabillauds en âge de se reproduire a été divisé par 5 en 20 ans. Les exemples sont nombreux, et il ne sert à rien de les énumérer sans rien faire. En revanche, on peut essayer de contribuer à inverser la tendance.

Comment ?

En préférant, bien sûr, le poisson d’élevage. Avantage : on ne dépeuple pas les océans. Inconvénient : à l’autre bout de la chaine, des poissons sauvages sont pêchés pour être transformés en farines pour élevages !

Le mieux est de soutenir les pouvoirs publics instaurant des zones marines protégées ou des réserves ainsi que des politiques de quotas. C’est ce que la France a fait près de Bonifacio (Corse) en créant une réserve de 79 000 ha en 1999 pour favoriser la réapparition du mérou. A l’échelle mondiale, les zones marines sanctuaires ne représentent que 2% de la surface des mers.

Et pour notre bien-être à nous… on choisira plutôt des poissons semi-gras et gras : hareng, maquereau, thon, sardine, saumon pour leur apport en omégas 3, aux vertus reconnues sur le système cardio-vasculaire.

Attention ! Fiez-vous aux labels, mais avec modération. Label bio ou rouge garantissent une charte de qualité minimum, et interdisent l’utilisation d’OGM dans l’alimentation. C’est déjà ça. A terme, ils devront être étoffés pour prendre en compte l’ensemble des problématiques concernant l’aquaculture. Et bien sûr, n’oubliez pas le calendrier mis à votre disposition par Mon quotidien autrement.

Avis sur : Quelques conseils pour manger du poisson sans trop culpabiliser

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

Par nos actions quotidiennes, nous avons le pouvoir de changer notre société