Bonjour à toutes et à tous,

Pour des raisons exceptionnelles liées à notre organisation, nous n’avons pas pu publier notre newsletter mardi, jour de la Saint-Valentin.

Alors, nous allons vous raconter à retardement notre petite histoire de la Saint-Valentin.

Une personne de l’équipe de Mon Quotidien Autrement a un fils adolescent qui est membre du CVL (conseil des délégués pour la vie lycéenne) de son lycée. Chaque année, le lycée organise une vente de roses au moment de la Saint-Valentin. Porté par ses convictions écologiques, le fils adolescent a proposé de remplacer les roses par des fleurs locales et de saison, en l’occurrence de jolies tulipes rouges.

Après vote du conseil, il a été décidé d’acheter 300 roses et 300 tulipes.

C’est la mère du toujours même fils adolescent qui a aidé son fils à réceptionner les 600 fleurs et les stocker dans leur maison avant de les emporter au lycée. Et ce faisant, ils découvrent l’ineptie écologique de la rose porteuse d’amour.

Les tulipes viennent de France, sont livrées en gros bouquets de 40 enveloppés d’un simple papier kraft.

Les 300 roses viennent d’Équateur … Elles sont empaquetées par « bouquet » de 25. Chaque bouquet est entouré d’une collerette en carton agrafée puis d’un suremballage en cellophane. A l’intérieur des bouquets, les roses sont rangées par ligne de 5, séparées par des cartonnettes.

Résultat : la photo ci-dessus. Et le tas de carton, ce ne sont que les collerettes en carton dégrafées pour que les fleurs respirent …

L’année prochaine, offrons des tulipes !