Bonjour à toutes et à tous,

Le gouvernement en a fait une de ses priorités santé et il était temps. Considérée pendant des années comme un « caprice de femme », l’endométriose est enfin reconnue.

Maladie chronique de l’endomètre, le tissu qui tapisse l’utérus, cette affection touche une femme sur dix en âge d’avoir des enfants.

Elle se caractérise par la présence en dehors de la cavité utérine de tissus semblables à la muqueuse utérine. Ces tissus peuvent se développer dans les organes génitaux, urinaires, digestifs voire, dans de rares cas, pulmonaires. La maladie, encore mal connue, entraîne de fortes douleurs durant les règles et les rapports sexuels et peut être responsable d’infertilité dans certains cas. On ne sait pas à l’heure actuelle bien soigner l’endométriose. Il est possible d’avoir recours à la chirurgie pour traiter certaines lésions sévères, mais d’autres peuvent apparaître par la suite. Il existe aussi des traitements hormonaux et il est possible de générer une ménopause artificielle.

Au-delà de ces traitements, il existe également des solutions naturelles qui ont vocation à prévenir ou soulager les maux liés à l’endométriose. Plusieurs moyens d’action sont à disposition des femmes souffrant de cette maladie. A noter que ces méthodes sont surtout efficaces pour les cas d’endométriose légères ou modérées.

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Nous vous conseillons vivement d’aller lire notre entretien avec Isabelle Dauge, naturopathe. Sa vision de la naturopathie est extrêmement précise et ouvre de nouveaux horizons, en particulier pour les femmes.

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