Bonjour à toutes et à tous,

Nous espérons que vous avez pu prendre de bonnes vacances, heureuses et reposantes.

Et si tel est le cas, nous sommes prêts à parier que vous avez nécessairement parlé alimentation, bouffe, bonne chère, mangeaille, cuisine …car l’art de se nourrir reste un sujet de prédilection chez nous autres, les Français.

Et pour cause, la cuisine fait partie de notre patrimoine, un bon nombre de cuistots à la renommée internationale sont de chez nous (cocorico !).

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Depuis quelques années, cependant, les discussions au coin du barbecue, autour du pique-nique et au sein des grandes tablées familiales ont pris un tour nouveau. Nous commençons à prendre clairement conscience de l’impact de l’alimentation sur notre santé d’une part et sur le dérèglement climatique d’autre part.

Dans une note éditée en mai 2021, le cabinet de conseil Carbone 4 a évalué que l’impact de l’agroalimentaire, en cumulant absolument tout – l’agriculture, la fabrication des engrais et pesticides, la fabrication et la distribution des produits agro-alimentaires, la logistique des produits, les déplacements des consommateurs pour s’approvisionner, la gestion des déchets et recyclage) génèrerait 40 % des émissions de gaz à effet de serre en France. Ce n’est pas rien !

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Pour la reprise, on vous a rassemblé ci-dessous quelques-uns de nos articles clés permettant d’étayer les grands principes d’une alimentation vertueuse pour la santé et la planète, que nous résumons ci-après :

• Faire la part belle au végétal en accordant une place importante aux légumineuses et céréales. 8 produits végétaux par jour nous conseille Christian Rémésy, ancien directeur de recherche en nutrition humaine à l’Inrae et auteur de  » La Nutriécologie « .
• Devenir végétarien ou fortement diminuer sa consommation de produits d’origine animale qui devrait se limiter à un grand maximum de 2 par jour en additionnant tout (viande, œufs, laitages). La viande rouge et la charcuterie doivent rester exceptionnelles.
• Privilégier le vrac et les produits locaux, la cuisine maison et de saison, le bio (pas de pesticides, pas d’engrais azotés chimiques de synthèse).