Tous aux abris sous le parapluie ? L’environnement n’est pas protégé.
Ouvrons l’œil
On estime qu’il s’écoule 10 à 12 millions de pépins chaque année en France. Le parapluie semble imperméable à l’écologie et au développement durable. Parce qu’il est composé de diverses matières ( métaux, bois, polyester, polyamide, fibre de carbone…), il n’existe pas de filière de recyclage spécifique. Ils finissent à la décharge ou à l’incinérateur où leur combustion est néfaste pour l’environnement.
Miser sur la qualité
Le pépin est devenu au fil du temps un produit jetable, peu cher (près de 95% de la production mondiale vient de Chine) et dont l’achat à la moindre goutte, n’entraîne pas une réflexion préalable. Il vaut mieux investir dans un beau modèle, durable que vous garderez plus longtemps. Certaines marques françaises, comme Ayrens ou Guy de Jean, Delos, Heurtault, ou encore L’aurillac (basé à Aurillac, dans le Cantal, capitale du pépin), proposent des parapluies de grande qualité.
Penser à le faire réparer
Baleines qui cassent, toile qui se déchire ou manche téléscopique grippé… faites réparer votre parapluie chez Pep’s (https://www.peps-paris.com/) à Paris ou par envoi de colis chez reparapluie, (http://www.reparapluie.com/), des passionnés remettent votre pépin d’aplomb.
Parapluie écologique
Les pépins 100 % écologiques sont rares. On en a trouvé un ici : http://www.ecoburo.fr/parapluie-bambou-et-plastique-recycle ou ici : https://www.love-parapluie.com/32-parapluie-ecologique