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Le boom des culottes menstruelles

Moins chères et moins polluantes que les serviettes jetables et les tampons.

Les culottes menstruelles Fempo existent en trois modèles.

Paru le 18 juin 2019, modifié le 1 avril 2023

Ecrit par Déborah de Mon Quotidien Autrement

Testé et approuvé par MQA

A 30 ans, une femme a dépensé en moyenne 2 000 € depuis le jour de ses premières règles dans ses protections hygiéniques (serviettes et/ou tampons) et en a jeté environ 6 000. A l’échelle mondiale, cela représente 45 milliards de protections chaque année. Elles peuvent être incinérées et donc générer des émissions de Co2. Elles peuvent aussi se retrouver dans la nature ou en décharge à ciel ouvert et elles mettent entre 500 et 800 ans à se décomposer.

Pour éviter cette pollution et ces coûts, il existe des solutions : les cups, les serviettes lavables, mais aussi les culottes menstruelles. Et on trouve de plus en plus de marques qui en proposent.

Nous avons testé deux modèles.

La marque Fempo tout d’abord. Elle existe en trois modèles : shorty, culotte et culotte ++ pour celles qui ont un flux abondant. Elles sont très classiques, noires, unies. Elles sont aussi confortables. On peut les porter toute la journée. Pas d’inquiétude, on n’a pas du tout l’impression de porter une couche. La doublure intérieure est en coton, l’extérieur est en lycra. Et le tissu absorbant est composé de bambou, qui a des propriétés absorbantes, anti-bactériennes et anti-odeur. Résultat, pas de problème d’odeur avec cette culotte qui garantit également être sans nano particule.
Les textiles sont certifiés Oeko-tex et proviennent d’Europe, de France et d’Italie en majorité. Pour la confection, la marque travaille avec deux ateliers : l’un en France, l’autre en Tunisie.

On a aussi testé les culottes de la marque américaine Thinx, qui sont jolies, élégantes et agréables à porter.
Elle sont vraiment efficaces pour la nuit, les fins de règles, ou pour celles qui ont des règles peu abondantes. Là non plus, pas de sensation de porter une couche et pas d’humidité.

Dans les deux cas,  pour celles qui ont des flux abondants, les culottes menstruelles devront peut-être être couplées avec une autre protection, comme un cup, du moins les premiers jours de règle.

Pour l’entretien, il suffit de la rincer à l’eau froide avant de la mettre en machine à 30°C (attention, pas plus). Mieux vaut le faire le jour même, au moins le rinçage. Sans cela, certaines culottes (celles de la marque Thinx) peuvent prendre une odeur peu agréable. En portant la culotte uniquement quelques jours par mois, on peut la conserver plusieurs années.

Dans tous les cas, il faut compter au minimum une trentaine d’euros par culotte. Et on les trouve sur les boutiques en ligne des marques.

Nous avons aussi repéré les marques Elia et Rejeanne, qui proposent en plus des culottes menstruelles Made in France.

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Avis sur : Le boom des culottes menstruelles

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