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Voyages de dernière minute, plaie pour la planète?

Quelques clics sur Internet, et vous voilà deux jours plus tard à l'autre bout du monde

Voyages de dernière minute, plaie pour la planète?

Paru le 29 juillet 2011, modifié le 9 janvier 2018

Ecrit par Mon Quotidien Autrement

Le réflexe pour les retardataires qui n’ont pas encore fixé leurs vacances, c’est de faire un petit tour sur Internet. Et les voilà partis dans un complexe hôtelier au bout du monde, en formule “all inclusive” pour une somme ridicule, vol compris.

Excès d’offre touristique

Le tourisme de masse et de dernière minute se développe vitesse grand V, générant toujours plus de pollution. “La multiplication des compagnies low cost encourage la croissance des déplacements et accentue la tendance de l’homme à rester de moins en moins de temps dans une destination”, explique Bernard Schéou, enseignant-chercheur pour Echoway, association en faveur du tourisme équitable, solidaire ou écologique. “Les voyages de dernière minute s’expliquent par un excès d’offre touristique par rapport à la demande. L’industrie touristique essaie de pousser l’homme à consommer le plus possible de voyages et donc à se déplacer le plus possible et ces comportements sont néfastes pour l’environnement”.

Voyager écolo, compatible avec budget riquiqui

Du côté des touristes, les préjugés ont la dent dure: d’après un sondage Opinion Way d’avril 2011, 72% sont convaincus que voyager responsable coûte cher. Reste que voyager à la dernière minute n’est pas incompatible avec comportement écolo-responsable et budget riquiqui. “Tout dépend de ce que l’on entend par voyager écolo. Certains, peu nombreux, diront que c’est se passer de tous moyens de transport motorisés et marcher, faire du vélo ou voyager en kayak, ne pas aller loin mais découvrir sa propre région. D’autres comme les voyagistes allemands regroupés au sein du collectif Forumandersreisen ne proposent aucun produit touristique faisant appel à des 4×4, des motos hors pistes, des sports de glisse motorisés, ou des vols aériens locaux. Ils ne proposent pas non plus de déplacement aérien pour des distances inférieures à 700 km, pour des séjours de moins de 8 jours si la distance est comprise entre 700 et 2000 km et pour des séjours de moins de 15 jours lorsque la distance dépasse 2000 km”, détaille Bernard Schéou.

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