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Sommeil et alimentation en hiver.

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Sommeil et alimentation en hiver.

Paru le 2 janvier 2017, modifié le 9 janvier 2018

Ecrit par Mon Quotidien Autrement

Vous avez froid, vous êtes déprimé à l’idée de voir le soleil se coucher à 17h09 ? Nous aussi ! On n’a qu’une seule envie, fermer notre porte à double tour, nous enfouir sous la couette et n’en ressortir que pour nous empiffrer de tartiflette, de choucroute ou de chocolat.

Mais doit-on davantage manger en hiver ?

En réalité, le manque de lumière naturelle peut provoquer un sentiment de fatigue importante, une baisse d’activité, une hausse du stress que l’on peut vouloir compenser à grand renfort de bons petits plats caloriques. Et sans doute arrivez-vous à vous convaincre qu’en hiver on mange plus, que c’est normal, qu’il faut bien faire un peu de gras. Mais ce qui était vrai pour nos ancêtres, qui avaient besoin d’une couche graisseuse supplémentaire pour se protéger du froid, ne l’est plus tout à fait pour nous.

En fait, en hiver, il vaudrait mieux redoubler de vigilance quant à son alimentation : manger équilibré, bien s’hydrater, ne pas lésiner sur les fruits secs, les agrumes, les légumes… de manière à booster son organisme afin qu’il résiste mieux.

Pourquoi les animaux hibernent-ils et pas nous ?

La solution serait peut-être tout simplement d’hiberner ! Après tout, pourquoi pas ? Bien des animaux le font. Les hamsters, les grenouilles, les hérissons… En hiver, ils ralentissent leur métabolisme, pour ne brûler leurs graisses que progressivement et patientent ainsi jusqu’au printemps. D’autres n’hibernent pas totalement, mais hivernent. Comme l’ours : quand le thermomètre dégringole, son rythme cardiaque fait de même, mais sa température corporelle reste assez stable (contrairement aux adeptes de l’hibernation) et il peut facilement être réveillé.

Un médecin du CHU de Toulouse, Christian Bourbon, s’est très sérieusement penché sur la question de l’hibernation chez l’homme. Il a effectué des travaux sur un explorateur qui a passé plus de cinq mois d’hiver en Arctique (-40 °C et trois mois et demi d’obscurité). Son étude a montré que la température ambiante pouvait avoir une influence directe sur notre envie d’« hiberner ». L’exposition prolongée à des températures basses extrêmes « augmente de 50 % la durée totale de sommeil et de 75 % la somnolence diurne », note-t-il. Nous aurions donc conservé quelques « instincts » archaïques nous incitant à l’hibernation. Alors, envie d’une petite sieste hivernale ?

Avis sur : Sommeil et alimentation en hiver.

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