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Chouette, il neige… de la pollution !

I sing in the "neige industrielle"

Chouette, il neige… de la pollution !

Paru le 16 janvier 2017, modifié le 25 mars 2023

Ecrit par Mon Quotidien Autrement

Vous vous émerveillez dès que vous apercevez des petits flocons blancs dégringoler du ciel et s’écraser sur le bitume ? Vous pensez alors feu crépitant dans la cheminée, sports d’hiver, ou bonhomme de neige que vous construisiez peut-être lorsque vous étiez enfant.

Quand la pollution se fait neige

Pourtant, ces dernières semaines, une autre forme de neige est aussi venue couvrir nos villes d’une fine couche blanche. Comme à Saint-Nazaire par exemple ! On l’appelle tantôt « neige de pollution », tantôt « neige industrielle », ou encore « neige urbaine ». De quoi s’agit-il ? Des particules fines qui stagnent dans l’atmosphère. De quoi arrêter la machine à rêve instantanément !

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, nos trajets en voiture ne sont pas les premiers à incriminer. On vous conseille tout de même d’aller découvrir l’appli GECO Air, qui vous aide à réduire les émissions polluantes dans vos déplacements.

La « neige urbaine », qu’est-ce que c’est ?

Pour ce qui est de la neige de pollution, il faut surtout blâmer les usines et nos cheminées. Pour « produire » cette neige industrielle il faut rassembler plusieurs critères : des pics de pollution comme ceux que les habitants des grandes villes françaises ont eu le malheur de connaître récemment, couplés à des températures négatives, des brouillards givrants et une absence de vent. De la vapeur d’eau se forme alors sous forme de gouttelettes et se fixe sur les microparticules de polluant avant de geler et de se transformer en flocon.

En réalité, difficile de distinguer la neige naturelle de sa cousine issue de la pollution. Le phénomène n’est pas très courant et est compliqué à prévoir. Pour autant, ce n’est pas la première fois que cela arrive. Des épisodes ont été identifiés en février 2010 dans les Yvelines et dans l’Essonne ou encore en décembre 2013, aux alentours de Lyon.

Pas de panique, la « neige industrielle » n’est pas dangereuse

Une chose est rassurante : les chutes de « neige urbaine » sont moins dangereuses pour la santé que les pics de pollution. Pourquoi ? Parce que, jusqu’à preuve du contraire, on ne respire pas les cristaux de neige. « Mieux vaut fouler aux pieds la pollution que la respirer », expliquent les experts. Mieux vaut sans doute aussi s’abstenir de lécher ou de manger les flocons, si vous pensez qu’il s’agit de neige industrielle. Ce conseil vaut surtout pour les enfants. Souvenez-vous des quatre critères : pic de pollution + températures négatives + brouillard givrant + absence de vent.

Avis sur : Chouette, il neige… de la pollution !

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