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Le boutis ? Ce n’est pas ce que vous croyez

Simple couvre-lit synonyme de chaleur par nuits froides ?

Le boutis ? Ce n’est pas ce que vous croyez

Paru le 3 mars 2011, modifié le 11 février 2021

Ecrit par Mon Quotidien Autrement

Tableaux, napperons, coussins déclinent le boutis pour en faire des œuvres décoratives, autant qu’utilitaires.

Sujet à confusion, le boutis provençal ne bénéficie pas d’une appellation protégée, et le mot est utilisé à tort. Le boutis que l’on trouve dans le commerce est en réalité le plus souvent du piqué marseillais.

Important ? Oui, car les techniques sont différentes : alors que le piqué réunit trois couches de tissus par un piquage, la technique du boutis consiste à coudre les motifs sur le tissu, puis à en bourrer les formes de coton à l’aide du fameux boutis, grosse aiguille à bout rond, ce qui permet d’obtenir un rendu, un relief et une précision sans comparaison.

Le véritable boutis est rare. Cette tradition a été progressivement oubliée avec l’apparition de la machine à coudre, et n’est aujourd’hui perpétuée que par quelques connaisseurs passionnés, qui fabriquent ces précieux tissus de façon artisanale.

Rare, mais pas perdu: grâce à son site Internet, Mireille Santarnecchi, créatrice de la marque A’boutis, tente de redorer l’image de cette technique à l’aide de motifs plus modernes et de couleurs plus actuelles. Vous voulez vous y mettre ? Rien de plus facile, assure cette passionnée originaire d’un petit village proche d’Avignon: l’apprentissage se fait très rapidement – pas plus de deux demi-journées – et vous permet d’assortir motifs et couleurs à votre intérieur. En récompense de vos efforts, vous pourrez cet hiver vous blottir avec volupté dans une couverture en boutis véritable.

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